Page 160 - Julius - Thriller jeunesse
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Nous sommes retournés auprès de lui.
Simone lui a pris la main. Et nous avons
attendu.
Le silence était inquiétant. Je me pro-
menais de la fenêtre à la porte, scrutait la
forêt en me demandant si j’avais frappé
Marco suffisamment fort pour l’expédier
dans les limbes pour un bon petit bout de
temps. Je sentais que je devais demeurer
vigilant. Ne pas baisser ma garde. J’avais
l’impression de vivre un film d’horreur où
les acteurs étaient constamment confron-
tés à un maniaque immortel qui prenait
plusieurs visages.
Enfin, le silence a cédé la place à une
animation incongrue dans ce décor immobile
et glauque. L’équipe policière est apparue,
suivie par celle des ambulanciers, montant
chacune un tout-terrain. Guidés par la posi-
tion émise par le Lifecom, ils n’avaient pas
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