Page 31 - Julius - Thriller jeunesse

buches abandonnées à demi moisies.
Derrière un rideau, on pouvait apercevoir

l’extrémité d’un lit, mais pas davantage.

Sous la fenêtre, un comptoir muni de pla-

cards et d’étagères remplies de vieilles

assiettes, de tasses ébréchées et d’une

théière en fer blanc.

Mais ce qui m’a le plus dégouté, ce

sont les cadavres des mulots morts et des-

séchés depuis longtemps qui parsemaient

le sol de planches disjointes.

— Hey Colin, t’aurais pu faire le

ménage !

— Ta gueule, Marco.

Enfin, je connaissais le nom de mes

comparses sans que je me sois abaissé à le

leur demander.

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