Des habitats favorables  à la présence de nombreuses espèces fauniques

 

 


Le cerf de Virginie

Sépaq, Photographe Pierre Pouliot
Le cerf de Virginie

Le cerf de Virginie broute les feuilles et les branches d'une grande variété de plantes herbacées, d'arbres et d'arbustes. Puis, il se couche pour ruminer. Toujours aux aguets, il détale sans bruit s'il craint un danger… laissant une dépression ovale dans les feuilles ou la neige. On l'appelle aussi, à tort, chevreuil.

On constate, depuis quelques années, une plus grande abondance des cerfs de Virginie dans la région de Québec. Cette situation s'expliquerait par une série d'hivers plus cléments, depuis le début des années 1980, qui ont entraîné une survie plus grande chez les cerfs. En conséquence, la distribution des cerfs de Virginie prend de l'expansion vers le nord et on observe de plus en plus souvent ce mammifère dans les régions de Charlevoix et de Portneuf.